La démocratie semble capturée par le poids de l’argent privé. Financement des partis et des campagnes électorales, dons aux fondations ou achats de médias, les outils à la disposition des plus favorisés désireux d’influencer les termes du débat public ne manquent pas. Conséquences ? Femmes et hommes politiques ne répondent plus qu’aux préférences des plus favorisés. De nombreuses démocraties ont de plus mis en place un système de réduction d’impôt.